Perte de la nationalité polonaise en raison de l'acquisition de la nationalité étrangère
L'acquisition de la nationalité étrangère a entraîné la période du 31 janvier 1920 au 18 janvier 1951 a entraîné la perte de la nationalité polonaise.
La loi prévoyait des exceptions à cette règle:
- - hommes obligés de faire un service militaire actif.
- - mariage d'enfants pendant la vie de leur père
- - les femmes durant la vie de leur mari.
Il ne faut pas oublier que les hommes sont obligés de faire leur service militaire non pas toute leur vie, mais uniquement dans la tranche d'âge spécifiée par la réglementation militaire. Si un homme était plus âgé ou plus jeune au moment de l'acquisition de la nationalité étrangère, il perdrait la nationalité polonaise. Il a été traité comme une femme. Les tribunaux ont également considéré que même si, au moment de l'acquisition d'une nationalité étrangère, un homme était soumis à l'obligation de service militaire actif, lorsqu'il vieillissait et cessait d'être soumis à l'obligation de ce service, il perdait alors la nationalité polonaise. Ce point de vue doit être critiqué, car il viole le principe de la citoyenneté permanente et crée également une institution juridique inconnue de la citoyenneté temporaire. On peut espérer que la jurisprudence changera à cet égard. Les décisions de justice montrent également le principe selon lequel les hommes qui, en raison de leur état de santé, n'étaient pas soumis au service militaire actif n'étaient pas non plus soumis à l'obligation de service militaire et perdaient ainsi leur nationalité polonaise. Plus de détails sur:
service militaireLes exceptions concernant les enfants mariés et les femmes mariées découlent du principe d'uniformité de citoyenneté des conjoints et de leurs enfants mineurs résultant de l'art. 13 de la loi de 1920 (cf. arrêt de la Cour administrative suprême du 26 août 2011, II OSK 1776/10). Cela signifiait que seule la perte de la nationalité polonaise par le "chef de famille" entraînait la perte de la nationalité polonaise par les enfants et la femme mineurs. Cependant, il ne faut pas oublier qu'après la mort de son mari, la femme et les enfants n'étaient plus protégés de cette manière et leur acquisition de la nationalité étrangère a entraîné la perte de la nationalité polonaise. En revanche, après la mort de son mari, en vertu de la loi sur la nationalité, la mère n'est pas devenue "chef de famille" et sa perte de la nationalité polonaise ne lui a pas fait perdre sa nationalité. L'enfant pourrait acquérir de façon indépendante la nationalité étrangère puis perdre la nationalité polonaise. Soit dit en passant, on peut affirmer que si pendant le mariage l'épouse ou l'enfant a acquis la nationalité étrangère, mais que la protection de son mari n'a pas perdu la nationalité polonaise au moment de l'acquisition de la nationalité étrangère, ils n'ont pas perdu la nationalité polonaise plus tard si le mari et le père sont décédés. Une autre interprétation est contraire au principe de la citoyenneté permanente.