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Développements actuels du droit de l'immigration

Acquisition de la nationalité polonaise dans le territoire du « partage hongrois »

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Avertissement :  Ceci est une traduction automatique du polonais. La précision peut varier.

Les régions de Spisz et Orawa appartenaient au Royaume de Hongrie avant que la Pologne ne retrouve son indépendance en 1918, ce qui permet de parler formellement d’un « partage hongrois ». En vertu du traité de Trianon, signé le 4 juin 1920, une partie de ces territoires a été officiellement transférée à la Pologne et à la Tchécoslovaquie.

Contrairement au reste du partage autrichien, l’acquisition de la nationalité polonaise par les habitants de Spisz et Orawa a été réglementée séparément par l’accord entre la République de Pologne et la République tchécoslovaque sur les questions juridiques et financières, signé à Varsovie le 23 avril 1925. Selon l’article 1, paragraphe 1 de l’accord, la nationalité polonaise était acquise ipso jure par les personnes détenant le droit de swojszczyzna (appartenance communautaire) à partir du 1ᵉʳ janvier 1914 ou ayant un domicile dans la région depuis le 1ᵉʳ janvier 1908. Le droit à la nationalité revenait à l’État sur le territoire duquel se trouvait leur communauté de swojszczyzna ou leur domicile.

Par ailleurs, il a été stipulé que :

  • Les personnes disposant du droit de swojszczyzna dans des communes divisées par la frontière devenaient citoyennes de l’État auquel était attribuée la partie de la commune où elles résidaient le 28 juillet 1920.
  • Si elles ne résidaient pas dans la commune divisée à cette date, elles acquéraient la nationalité de l’État auquel était attribuée la partie de la commune où elles avaient résidé pour la dernière fois avant leur déménagement.

Différences par rapport au partage autrichien

À Spisz et Orawa, les règles étaient plus restrictives que dans l’ancien partage autrichien, où :

Il n’était pas nécessaire de prouver la swojszczyzna depuis 1914 : il suffisait de démontrer ce droit au 31 janvier 1920 (date d’entrée en vigueur de la Loi de 1920 sur la nationalité polonaise).

Aspects procéduraux

Pour prouver la swojszczyzna ou le domicile, en plus des registres municipaux ou des documents d’appartenance communautaire, d’autres preuves, comme des témoignages, étaient admises. En cas de cumul de la swojszczyzna et du domicile, la première primait comme base d’acquisition de la nationalité.

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